Simone POMIÈS

Isabelle et Frédéric
Malgré les circonstances j'ai été heureuse de vous retrouver, et j'espère que nous pourrons nous revoir bientôt .
Je vous souhaite du courage pour demain et vous embrasse bien fort.
Anne

Anne

À notre chère amie
Avec toute notre affection

Avec toutes nos condoléances de la part de la rue de la pile
Les familles :
Martial et Corine André au 18
Marc et Caroline Amelle au 2
Isabelle Blanc au 24
Jean-Paul et Marion Babou au 1B
Famille Brouillet et Masegosa au 1 et 1C
Jeannette Fabre au 9
Nadine Ganga au 12
Jacqueline et JF karche au 2 ou 4 de la rue du 4 Septembre
Famille Kaszuba au 16
Blandine et Jean-Louis Maniez au 5

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Simone, après toutes ces années passées à tes côtés, je m’en viens te souhaiter un bon repos éternel.
Tu nous manqueras beaucoup.
Avec toutes mes pensées affectueuses
À jamais
Ta Cathy et ses enfants

Bettwiller, le 11/05/25.
Chers vous quatre,
Ce dimanche, nous fûmes à la fois surpris et peinés d’apprendre le décès de Simone, merci à vous de nous en avoir fait part.
Nous garderons de Simone, le souvenir d’une personne discrète, pleine de gentillesse et fidèle en amitié, sa disparition nous touche beaucoup.
Par elle nous avions de vos nouvelles et avons pu suivre le brillant cursus d’Apolline et Alexandre.
Nos enfants se joignent à nous pour vous témoigner soutien et sympathie dans cette douloureuse épreuve.
Croyez en notre sincère amitié.
Nadette et Yo

Chère Simone, tu as rejoins la maison du Père quelques années après Alphonsine, ton amie, ta voisine. Avec elle, tu parcourais jadis les rues du village en parlant de vos connaissances et du passé. Depuis, c'est moi, Jean, son fils, qui venait te rendre visite lors de mes courts passages à Baillargues. Comme tu le disais, nous étions de la famille, comme ton père et mon grand-père qui étaient de très grands amis d'enfance. Avec toi, c'est encore une part de nous même et du village qui s'en va. Repose en paix avec tous ceux que tu as aimés et que tu vas retrouver dans ce mystérieux au-delà vers lequel nous sommes tous destinés. À ta nièce Isabelle, à Frédéric et à leurs enfants, j'adresse mes plus profondes condoléances. Je suis à Budpest pour la semaine et je ne pourrai donc pas assister à la cérémonie du 16 mai. J'espère vous revoir cet été dans votre nouvelle maison de Baillargues, là où je suis né et ai vécu jusqu'à l'âge de 6 ans. Je vous embrasse bien affectueusement.