Juliette DELON

Ma tres chère Anne-Marie,
Quelle triste nouvelle tu m'as apprise ce matin, le départ vers le Père de ta chère maman.
Aujourd'hui, elle voit la Vierge qu'elle aimait tant. Marie l'enveloppe de son grand manteau virginal. Mon Dieu! qu'elle doit être heureuse de se trouver pres d'elle. Dans ces moments de grande tristesse, je veux vous dire que nous nous sentons proche de vous. La vie est éphèmère mais le souvenir d'un être tres cher qui est une maman, reste à jamais dans notre coeur.
De tout coeur avec vous, nous vous souhaitons beaucoup de courage. En union de prières.
Danielle

Maman,
Tu étais une maman formidable, trés droite, pieuse,aimant beaucoup tes enfants.Pour les petits enfants, tu les as élevés, adorés, gardés, chéris et mis sur le chemin de ta précieuse foi, celle que tu aimais tant "la maman du ciel".
Pour Bruno ton neveu, François, Christine et Evelyne pour lesquels tu as su faire preuve d 'attention et de tendresse.
Des inoubliables moments partagés ensemble lors des pélerinages du Rosaire à Lourdes pendant 20 ans.
Une maman très forte dans tes épreuves de la vie, tu nous a appris à surmonter nos tourments aussi.
Durant la fin de ta vie, tu m as donné des signes de douceur, d 'apaisement, d'acceptation et bien d autres, sans souffrance.Une paix de l'àme t enveloppait de la grâce "comme une bienheureuse".
Je te remercie d' avoir vécue 30 ans encore après papa, toi qui me disais"je veux vite le rejoindre".
Tata Yvette, tes enfants, ta famille, tes proches , ton jardin t'ont permis de te surpasser. Grâce à cela, j'ai pu te profiter encore longtemps.
Tu es allée les rejoindre.
Maintenant maman tu peux partir en paix.
Tu vas beaucoup me manquer.
Maman je t'aime.

Maminou restera toujours dans notre coeur.
Une femme plein de gentillesse et d'amour.
Nous ne l'oublierons pas.
MamiPau

Quel bonheur d'avoir pu te connaître.
Tu resteras pour toujours dans nos coeurs.
Bernard

"J'ai mené le bon combat,
j'ai achevé ma course,
J'ai gardé la Foi..."

2 eme lettre de Saint Paul apôtre à Thimothée, chapitre 4 , verset 7.
Phrase que disait Mr Rivière, Maire de Valergues dans les années 1950-1970, avant sa mort.....et complétait: "Maintenant, je peux partir"

Maman aimait ces phrases ci-dessus et complétait :
"Quelle vie,
J'ai vécu presque un siècle,
Quand je fais le tour de ma tête,
Tout ce que j'ai fait,
je ne sais pas comme je suis encore là..
mes projets sont arrivés au terme.
Je peux partir maintenant..."


PARTIR

Comme Abraham,
Dieu nous provoque au départ...
Camper et décamper
Seront nos sentiers.
S'installer et se désinstaller
Sera notre route.
S'arrêter et repartir
Sera notre avenir!

Toujours plus loin,
Toujours ailleurs,
Là où la route nous appelle,
Là où notre DIEU nous attend!

Ma chère tata « Paulette »,
Tata « Paulette » avait tout compris de la vie. C’était une femme libre qui désirait le bien, elle désirait ce qui était utile, elle conservait son être. Comme le disait Spinoza : « L’homme libre ne pense à aucune autre chose moins qu’à la mort, et sa sagesse est une méditation non sur la mort mais sur la vie. L’homme libre, c’est-à-dire qui vit suivant le seul commandement de la raison, n’est pas dirigé par la crainte de la mort, mais désire le bien, c’est-à-dire désire agir, vivre, conserver son être selon le principe de l’utile propre.. » Voilà, c’était cela tata. une femme libre !!.
C’était une belle femme, son bonheur elle l’a construit, sa famille s’était une forme d’exigence morale, elle est restée fidèle à elle-même en toutes circonstances. Lors de ma dernière visite j’ai été émerveillé par son visage, surpris par ses mots, elle distinguait l’essentiel du superflu, elle évaluait avec justesse ce dont nous avons besoin pour être heureux. Elle n’était pas belle, non, c’était beaucoup plus profond que cela parce qu’il y avait en elle quelque chose qui nous appelle.
Le bonheur suprême étant d’être sage, rien en elle n’était mauvais, sa vertu était de rechercher la joie, elle désirait le bien, elle infligeait une leçon à l’égoïsme.
Sa lanterne est allumée dans notre main à présent, On ne peut que dire oui à la réalité. A prés nos émotions, notre attachement à elle au passé, nous devons accepter de voir ce qui est car tata a ouvert le chemin du bonheur, alors ouvrons très grand notre égo pour nous unir au tout, voilà son message puisque sa générosité était un don et elle appartenait à son âme, il y a des choses qui dépendent pas de ce que vous avez mais de ce que vous êtes. Chers tous , la douleur nous rend aimable, les échecs vous rendent humbles et les épreuves vous rendent fort, vivre demande beaucoup d’amour comme l’inattendu de la naissance, comme un message de continuité pour dire l’amour pour toujours, oui ! dire de rester là à l’envie et enfin dire je t’aime à la vie.

Prenez soin de vous, à chaque moment, même quand tout vous semblera difficile, croyez en votre force, Juliette est là : car comme disait Victor Hugo « Tu n’es plus là où tu étais, mais tu es partout là où je suis »
Serge

À ma mamie.

À ma mamie qui a toujours été présente pour moi quand il le fallait. À ma mamie qui me gardait toujours chez elle, jouait avec moi aux dominos et au mikado, me faisait à manger et me prenait dans son lit. Je me souviens qu’à chaque fois que j’allais chez elle, elle faisait un Notre Père et un Je vous salue, Marie avant de se coucher. Elle a toujours été plongée au plus profond de son être dans la religion chrétienne et catholique, elle qui aimait tant notre Seigneur.

À ma mamie qui gardait toujours le sourire en toutes circonstances, je ne l’ai jamais vue pleurer, je ne l’ai jamais vue me regarder sans son sourire, même dans les jours qui ont précédé sa transition vers le Seigneur.

À ma mamie qui, même dans ses derniers jours ici-bas, arrivait à trouver la force de me dire des paroles que je n’oublierai jamais, dont certaines sont, mot à mot :
« Mon petit, je pense à vous autres. Je pense tout le temps à vous autres. »
« Que le Bon Dieu vous accompagne tout le temps. »
« Je suis contente, parce que je m’en vais tranquille. »
« Tout le monde est gentil avec moi. »
« Je vois tout le monde, en haut. » (en parlant des rêves qu’elle faisait)
« Vous me le mettrez (le petit chapelet), dans ma..., à côté de moi, dans ma caisse (mon cercueil), quand je partirai, tu y penseras ? »

Tous ces dires, et bien d’autres encore, sont la preuve de son amour puissant et de son immense foi en Jésus-Christ, ainsi que de sa tranquillité quant à son départ.

À toi, mamie, je te dis merci.

Jean-François vient de m'apprendre le écès de ta maman.
Cette dame souriante qui affectionnait Jean-Louis et qu'elle a rejoint pour l'éternité.Je pense tres fort à vous et votre famille dans ces moments douloureux. Recevez mes plus sincères condoléances. Je vous embrasse affectueusement.
Helene

Maman et Mamie Noël 2024

Noël 2024 en famille

Merci Maman pour tout ce que tu nous as apporté avec Papa.
Tu es allée rejoindre ceux que nous avons aimé et qui sont partis avant toi.
Repose en Paix.